Plus de peur que de mal; le check-up auquel s’est soumis le Pasteur BARUTTI KASONGO a attesté, selon un cabinet médical de renommée mondiale où il s’était rendu, qu’il se porte parfaitement bien.

En effet, après plusieurs semaines d’intenses activités évangéliques à travers le pays et à l’étranger, le Révérend BARUTTI KASONGO s’est senti poussé à aller, ce mardi 9 août 2022, dans un hôpital de bonne réputation ici à Kinshasa (dont on tait le nom) pour se rassurer de son état de santé, mieux pour un check-up. Et comme il fallait s’y attendre, les résultats lui communiqués par le médecin consultant lui ont laissé sans voix, fort de ses 75 ans d’âge.

« Il était normal pour un homme de mon âge qu’après un bon moment d’intenses activités évangéliques, que je soumette mon corps à un contrôle médical général ne serait-ce que pour me rassurer davantage, et savoir à quoi m’attendre ou ce qu’il me faudrait faire. Mais vous pouvez me croire qu’après le check-up, j’en croyais pas mes oreilles les résultats me communiqués par le médecin, particulièrement sur l’état de mon cœur qui, selon ce dernier, ressemble à celui d’un petit enfant. Les pieds ou les jambes, le ventre, le cerveau ou la tête entière, le dos, que sais-je encore, tout est parfaitement bien« ; confie-t-il.

Et d’ajouter : « Tout cela n’est possible que grâce aux incessantes prières des enfants de Dieu non pas seulement de mes assemblées à travers le monde, mais aussi et surtout de tous les fils et filles de Dieu qui m’aiment et qui sont disséminés à travers le monde. Je suis infiniment reconnaissant à Dieu pour cela« .

Il faut signaler que, peu avant que lui-même ne communique sur son état actuel de santé, l’un de ses pasteurs associés, en la personne de révérend Paul NDEMBO qui est en même temps son chargé des missions, avait eu à dire aux fidèles de l’Assemblée qui porte son nom (BARUTTI KASONGO) que : « Ceux qui font des calculs sur l’après BARUTTI se trompent gravement. Notre papa (entendez le révérend BARUTTI KASONGO) ira ensemble avec nous dans l’enlèvement« ; déclarait-il sous les applaudissements nourris et frénétiques des fidèles subjugués et en liesse pour ces mots, tant ils le veulent vivant et en bonne santé jusqu’à l’enlèvement de l’épouse.

Dieu merci KANDA MPOYI.