Le Ministre Muhindo Nzangi confirme sa décision de suspendre l’enseignement de médecine dans les institutions non-viables. Une décision qui avait été prise suivant les conclusions et recommandations des « états généraux de l’enseignement supérieur et universitaire » tenus dernièrement à Lubumbashi.

Intervenant ce jeudi 14 octobre sur les antennes d’une radio de la place, le Ministre de l’ESU ne cède pas aux pressions et confirme la teneur de sa note circulaire interdisant les universités non-viables d’inscrire les étudiants en faculté de médecine. Au cours de cette intervention médiatique, Muhindo Nzangi a affirmé « l’interdiction des universités n’ayant pas accomplie les critères tels que obligé par l’arrêté autorisant l’ouverture ou fonctionnement d’une filière de médecine dans une université privé ou public ».

Après moult réactions de la part des promoteurs des instituts privés organisant les enseignements en médecine contre la décision du ministère de tutelle, Muhindo Nzangi est resté visiblement imperturbable et attends remettre de l’ordre. La vie humaine étant sacrée, la formation des médecins doit répondre à des exigences particulières contrairement à d’autres filières.

« Oui, nous n’allons pas céder à des grimasses des ceux qui sont habitués avec le mal et du populisme, tant que cette décision ne viol aucune disposition légale telle que viens de le dire la Cour de cassation saisie par ces derniers. L’autorité de l’État doit être de rétablit comme le veut bien le premier citoyen du pays pour le bien être de tous », a-t-il martelé.

Freddy NDALA